Maclod vous salue

Salutations

Moi aussi je cheche à voler comme le buzard, je cherche aussi un endroit pour me poser.
Il parraît que vous n'embauchez plus mais je me suis dit qu'un écossais ne vous dérangerait pas.
Je n'ais pas trouvé de questionnaire alors je vous donne quelques infos.
Je n'ais qu'un village de 95 hbts.
J'ais une expèrience non négligeable sur Travian et un voisin vikings.
Je pose donc ma candidature auprès de votre noble confrérie.
A votre disposition pour toutes infos supplémentaires.

Très cordialement

Maclod

OUAH ! mon pote MACLOD, le seul picte/calédonien à résister plusieurs mois contre 2 ally avec 1 seul village sur S1V2.
Un combattant hors paires (hé oui, on écosse bien les p'tis poids !), une sacrée buse de T_B aussi, il a oublié de vous le dire.

Son principal défaut : On dit qu'il ne dort jamais, c'est faux...Il dort plus vite.

Alors, autant vous prévenir : pour le jeu des questions-réponses...
Il va me ridiculiser ! Là on rentre dans la cour des grands, on est obligé de lui compter tout : même lui, ne comprend pas toujours ce qu'il écrit !!!

lu, le probléme, c'est qu'il faut répondre sang froid, maclod, sauras-tu capable de répondre de sangs froid à des questions genre:
"que mange un crustacé avec des toast lors de son 7H ?"

allez au boulot putatif!

Là j'ais pas trop le temps je vais faire des course
Attends un peu klock... j'peux t"appeler klock

En fait schrimps pas trôp... sûrement ses veines oh Klok!

m'appelles pas trop "klok", sa me va pas, parcontre tu peu m'appeler métro

hum, sinon reformule ta phrase, j'ai pas bien compris ce que mange le crustacé!

pas trop klok pas trop klok... j'aime bien la musique... ouais
donc ses veines n'est pas la bonne réponse?

Ben désolé les gars mais les T_B m'appellent et vous savez ce que c'est la fidélité.

Sur ce je vous souhaite de, enfin, trouver la peur pour pouvoir tel Icar vous élever dans l'étheire mais décollez de nuit l'autre c"est brûlé

De toute façon je garde le contacte ce fût un plaisir de vous rencontrer

Videz quelques crânes à ma santé j'en ferai de même à la votre

Rohh bah vous partez tous

tant qu'ils cassent pas nos dépots sur la merveille cette fois!

Limportant n'est pas d'être présent, l'important est de n'être jamais absent.
Méditez ça Maîtres pilleurs.
Votre compagnie m'est fort agréable.

ils parlent drole en ecosse

Et vrai aussi

Comme le frangin Balushkoff vous exprime ses états d'âme au travers le texte de Léo Ferré, décédé le 14 juillet, je me permet d'en faire autant car l'indiférence ambiante de la vie IRL me pèse.
De Georges Brassens:

Cette rose avait glissé de
La gerbe qu'un héros gâteux
Portait au monument aux Morts.

Comme tous les gens levaient leurs
Yeux pour voir hisser les couleurs,
Je la recueillis sans remords.

Et je repris ma route et m'en allai quérir,
Au p'tit bonheur la chance, un corsage à fleurir.
Car c'est une des pir's perversions qui soient
Que de garder une rose par-devers soi.

La première à qui je l'offris
Tourna la tête avec mépris,
La deuxième s'enfuit et court
Encore en criant "Au secours! "

Si la troisième m'a donné
Un coup d'ombrelle sur le nez,
La quatrième, c'est plus méchant,
Se mit en quête d'un agent.

Car, aujourd'hui, c'est saugrenu,
Sans être louche, on ne peut pas
Fleurir de belles inconnu's.

On est tombé bien bas, bien bas...

Et ce pauvre petit bouton
De rose a fleuri le veston
D'un vague chien de commissaire,
Quelle misère!
Cette bouteille était tombé'
De la soutane d'un abbé
Sortant de la messe ivre mort.

Une bouteille de vin fin
Millésimé, béni, divin,
Je la recueillis sans remords.

Et je repris ma route en cherchant, plein d'espoir,
Un brave gosier sec pour m'aider à la boire.
Car c'est une des pir's perversions qui soient
Que de garder du vin béni par-devers soi.

Le premier refusa mon verre
En me lorgnant d'un œil sévère,
Le deuxième m'a dit, railleur,
De m'en aller cuver ailleurs.

Si le troisième, sans retard,
Au nez m'a jeté le nectar,
Le quatrième, c'est plus méchant,
Se mit en quête, d'un agent.

Car, aujourd'hui, c'est saugrenu,
Sans être louche, on ne peut pas
Trinquer avec des inconnus.
On est tombé bien bas, bien bas...

Avec la bouteille de vin fin
Millésimé, béni, divin,
Les flics se sont rincé la dalle,
Un vrai scandale!
Cette pauvre poigné' de main
Gisait, oubliée, en chemin,
Par deux amis fâchés à mort.

Quelque peu décontenancé',
Elle était là, dans le fossé.
Je la recueillis sans remords.

Et je repris ma route avec l'intention
De faire circuler la virile effusion,
Car c'est une des pir's perversions qui soient
Qu' de garder une poigné' de main par-devers soi.

Le premier m'a dit: "Fous le camp !
J'aurais peur de salir mes gants."
Le deuxième, d'un air dévot,
Me donna cent sous, d'ailleurs faux.

Si le troisième, ours mal léché,
Dans ma main tendue a craché,
Le quatrième, c'est plus méchant,
Se mit en quête d'un agent.

Car, aujourd'hui, c'est saugrenu,
Sans être louche, on ne peut pas
Serrer la main des inconnus.

On est tombé bien bas, bien bas...
Et la pauvre poigné' de main,
Victime d'un sort inhumain,
Alla terminer sa carrière
A la fourrière!